Les médias se concentrent souvent sur divers sujets liés à la place du Canada dans le monde. Par exemple, si notre pays a de l’influence aux Nations Unies, l’impact et l’influence de notre premier ministre sur les autres dirigeants mondiaux ou le rôle que nous jouons dans diverses victoires et défaites diplomatiques. Mais rarement, voire jamais, entendons-nous parler de l’incroyable impact alimentaire mondial du Canada.

Bien sûr, vous pouvez voir sur les sites Web des gouvernements et des entreprises exportatrices qu’entre 2019 et 2020, nous avons augmenté nos exportations de 7 milliards de dollars, passant de 67 milliards de dollars à 74 milliards de dollars. Oui, cela fait du Canada le cinquième exportateur agroalimentaire derrière l’Union Européenne, les États-Unis, le Brésil et la Chine.

Pour un pays avec une population de 38,4 millions d’habitants, c’est GÉNIAL, vous ne trouvez pas ?

Tous les autres pays producteurs avant nous ont des populations de 200 millions ou plus. Pour un petit pays, nous sommes des poids lourds mondiaux en matière de production alimentaire. Nous jouons bien au-dessus de notre classement.

On oublie souvent que sur le plan démographique, le Canada n’est pas dans la même classe que nos concurrents. Nous nous classons au 39e rang mondial en termes de population. Nous sommes un poids plume! Notre avantage est notre terre et les gens qui la travaillent.

Partout à travers le pays, des hommes et des femmes travaillent jour après jour pour nous nourrir, ainsi que des gens du monde entier. Notre terre, notre eau et notre air nous ont donné des aliments sains depuis l’époque des premiers peuples autochtones du Canada. Et maintenant, nous sommes un leader mondial. De toute évidence, beaucoup de gens doivent faire beaucoup de choses très bien !

Les agriculteurs prennent bien soin de nos terres. Ce sont des intendants incroyables. Ils investissent leurs gains, leur énergie et leur courage.

En tant que consommateurs, nous devrions être plus reconnaissants de leurs contributions et plus respectueux de ce qu’il faut pour réussir en agriculture.

Les agriculteurs ne se lèvent pas du lit à 7h pour commencer à travailler à 8h30 et finir à 17h. Leur travail est 24h/24, 7j/7, 365 jours par an. Bien sûr, la technologie aide à réduire la charge de travail, mais la ferme aura toujours besoin d’un agriculteur pour s’assurer que tout fonctionne bien. (Ce n’est pas demain que les humains seront remplacés par des robots dans une ferme où il y a des animaux.)

Nous pouvons, devrions et devons être fiers et soutenir nos producteurs agroalimentaires.

Nous pouvons leur faire confiance pour continuer à gérer notre territoire.

Le 22 février est la journée de l’agriculture canadienne, prenez un instant pour remercier un agriculteur dans vos médias sociaux. (Faîtes-nous signe en ajoutant @FoodFaits.)